Plage Salgado (dimanche 11/08/2013 – Partie 1/3)

     Le soir après Nazaré, on cherche un coin pour dormir vers le côté sud de la ville. Beaucoup trop de monde et de bruit nous font fuir vers une plage vue sur le GPS et qui semble bien plus loin de tout : Salgado. Pour y accéder il faut gravir les collines au sud de Nazaré, l’occasion de faire un arrêt pour profiter d’une superbe vue sur le couché de soleil…

     On repart sur la petite route aux croisements dangereux, pour enfin trouver le bon et descendre vers notre destination. La plage est donc enclavée au pied des collines, quelques habitations autour, pratiquement personne, le contraste est frappant comparé à Nazaré complètement blindé. Le parking a beau être petit, la plage est grande et permettra à chacun d’avoir largement son espace vital. Une très bonne alternative tranquille à Nazaré donc, tant qu’il y a de la place pour se garer en journée…
     Allez encore quelques photos “ambiance roots” prises depuis la plage cette fois !  ;)

Parking : petit et en béton, pas mal en pente en grande partie, pas de places délimitées, c’est au feeling. Il y avait aussi un second terrain en sable/poussière mais il n’était pas occupé donc on a évité.

Tranquillité : tranquille : on est éloigné de tout, seul un petit bar fait un peu de bruit mais il ferme relativement tôt. Comme d’habitude les gens arrivent relativement tôt le matin, mais c’est loin d’être la cohue.

Toilettes : oui, dans le local à gauche qui sert aussi de poste de secours et accessible via le petit chemin en bois. Fermées la nuit, propres. Ouvertures par les maîtres nageurs vers 10h.

Douches : oui, à l’intérieur avec les toilettes.

Recharge en eau : oui, possible avec les lavabos des toilettes mais prévoir de petites bouteilles.

Autres : les maîtres-nageurs ont également ouvert la baraque à glace ce jour là. Ils ont même sorti les tables et compagnie, c’est assez étrange au Portugal, ils ont vraiment l’air multitâches (ce sont souvent des jeunes, par 2 et sans “ancien” pour les encadrer, qui font sûrement ça en boulot d’été).

Au passage, pas forcément palpitant mais rigolo : au Portugal, la marque Miko a pratiquement le monopole des glaces de plage, sauf que là-bas elle s’appelle Olà (“j’ai dit olà, héééééé, hoooooooo”!). En Espagne, toujours la même qu’on voit partout mais qui se retrouve sous l’appellation Frigo. Voilà voilà !  ;p