mardi 24 septembre 2013

Plage de Torre (mardi 13/08/2013 – Partie 1/3)

     Cette plage de Torre se situe à l’est des remparts et de la tour de la zone militaire, à l’ouest la plage de Carcavelos est plus grande et censée pouvoir accueillir des windsurfeurs par vent de sud-ouest (nous en plein été, hormis le fait qu’il n’y avait pas de vent, la plage était totalement bondée donc à oublier).

Capture

  • Parking : pas énorme et en béton, payant (de 9h à 20h, comptez 2€ de l’heure), places délimitées dont pas mal en pente.
  • Tranquillité : relative : dans ce coin de Cascais on commence à vraiment s’approcher de Lisbonne et l’ensemble de la côte est très urbanisée, les plages et leurs parkings étant juste au bord de la grande route littorale. Après plusieurs arrêts c’est ce parking qui était le plus éloigné de cette route principale et donc le plus tranquille. Par contre classique : les gens arrivent tôt le matin et en masse, les places sont chères dès 10h.
  • Toilettes : non, le gros échec de cet endroit.
  • Douches : oui, sur la plage et avec un robinet pour les pieds. Par contre il n’y a qu’une douche et qu’un robinet à sa verticale en dessous, du coup c’est soit la douche soit le robinet.
  • Recharge en eau : oui avec robinet pour pieds, mais comme je l’expliquais ci-dessus c’est pas évident car il faut attendre que ce soit libre, et il y a beaucoup de monde sur la plage pour 1 seule douche. Vraiment pas top donc.
  • Autres : dès 9h30-10h il y a un mec qui vient voir les tickets à l’avant des voitures pour contrôler si le propriétaire a bien payé ce qu’il devait pour le parking, si ce n’est pas le cas c’est l’amende.

    PS : à savoir qu’au Portugal, si on ne voit vraiment pas beaucoup la police en général et surtout sur les routes, les autorités chargées de mettre les prunes pour les parkings sont elles bien présentes, on en a vu beaucoup aligner, en particulier à Lisbonne et ses environs (mais aussi ailleurs). Moralité : s’il y a bien un truc à respecter et ne pas by-passer c’est de payer son stationnement (encore que je ne sais pas ce que devient la prune portugaise en question lorsqu’on est étranger et français en particulier…).
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